1. |
Bye Bye Baby Lou
04:08
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Ainsi va et vogue ma pensée pour toi
Ensemble sur la ligne de crête on s’y croit
On soigne la face du mot bonheur comme tu le vois
Flotter entre l’espace et le temps, faut voir
BYE BABY LOU BYE BYE BABY LOU BYE
J’écris ces lignes comme une excuse, pour toi
Sur ta joue j’ai senti la pluie du soir
Les choses que l’on regarde ne sont pas celles que l’on voit
À toi de plonger au travers des lignes noires
BYE BABY LOU BYE BYE BABY LOU BYE
Regarde à travers la danse des nuages, là-bas
L’étoile en plein jour qui s’invite, c’est moi
Je cimente notre amour en m’éloignant de toi
Et même si j’en meurs regarde au loin, tu vois ?
BYE BABY LOU BYE BYE BABY LOU BYE
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2. |
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Le courant me pousse vers les portes d’un monde imaginaire
Langage binaire
On se donne rendez-vous après l’orage, au bord
Du Nuage
IMMERSION EN RÉSEAU TROUBLE
Suspendu au milieu du rien je sens la douceur
Des profondeurs
Je m’installe et discerne avec le temps que rien
N’est figé
IMMERSION EN RÉSEAU TROUBLE
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3. |
Sensation océanique
03:59
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Quand
Je dilate mon cœur
L’infini, l’infini, l’infini
S’offre à moi
Il m’attire là
Où la forme donne à l’informe
Une allure, une allure, une allure
Insaisissable
Quand
Je reprends connaissance
Le désir – Me conduit – Au plaisir
D’abstraction
D’une sensation
Océanique
Quand
Je reprends connaissance
Le désir – Me conduit – Au plaisir
D’abstraction
D’une sensation
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4. |
Sous l'entropique
03:26
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Savoir vivre ou vivre vite, ça se mélange
Perfusion numérique, l’errance assistée ça me dérange
La flèche du temps n’a qu’un sens et je suis en avance
Les images me reviennent en boomerang et ça c’est étrange
Sous l’entropique, on se sent bien
On sent plus rien on va plus vite, sous l’entropique
Sous l’entropique, qu’est-ce qu’on est rien
Tous aériens, ça ce serait atypique
Copine de couette ou love épique, ça se mélange
La pluie tombe sur la vitre d’un rêve, et ça me dérange
Ça me réveil elle semblait à l’aise comme un poisson dans l’air
Au centre de son cœur y’avait comme une fusion nucléaire
Sous l’entropique, on se sent bien
On sent plus rien on va plus vite, sous l’entropique
Sous l’entropique, qu’est-ce qu’on est rien
Tous aériens, ça ce serait atypique
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5. |
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J’exprime ici à mots couverts
Les caresses d’un rêve ou deux
J’ai le mépris de la routine – Erreur ludique
Ici je prends du plaisir à la chaîne
Danse ringarde
Abondance macabre
Science d’avant-garde
Sommes-nous sur la même longueur d’âme ?
Certains s’érodent avec le vent
L’esprit coincé dans d’étroites limites
Des hommes avec personne dedans – Erreur chronique
Avide de vide la vie s’évide – Barrière mentale
Danse ringarde
Abondance macabre
Science d’avant-garde
Sommes-nous sur la même longueur d’âme ?
Sommes-nous –– Sommes-nous
Sur la même longueur d’âme ?
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6. |
Qui a vu rêva
03:21
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Qui a vu rêva
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7. |
Les visages éphémères
03:50
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À la lisière de
La lumière verte je danse
À l’envers
Je passe une peau qui
N’est pas la mienne, elle est
Éphémère
Il suffit de se brancher
Pour se sentir aimé
Visages éphémères, les visages éphémères
Les rêves éphémères, tous mes rêves éphémères
À la recherche de
L’oublie mes cris se noient
Dans un verre
Ici tout le monde a
Une allure d’appel
D’air
Il suffit de se brancher
Pour se sentir aimé
Visages éphémères, les visages éphémères
Les rêves éphémères, tous mes rêves éphémères
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8. |
Et j'avance
03:28
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Mon humeur est comme le temps d’aujourd’hui
Nuageux avec quelques éclaircies
Une après-midi, une demi-heure,
D’une minute à l’autre et c’est la panne de cœur
Et je danse et je danse et je danse et je danse avec toi
Et j’avance et j’avance et j’avance et j’avance malgré moi
Je saute dans le bleu du vide de la nuit
Et le quotidien sensible s’évanouit
Mais ce corps que je connais par cœur
S’abonne aux plaisirs de me narguer en chœur
Et je danse et je danse et je danse et je danse avec toi
Et j’avance et j’avance et j’avance et j’avance malgré moi
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9. |
Je navigue à l'aveugle
03:13
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Quelque chose dans le parfum de l’air assassine les rêves
Faut dé-zoomer un peu, pour en voir les ficelles
Je navigue – mes fantasmes – à l’aveugle
J’sais pas où ça mène mais j’y vais quand même
Pour éviter la foule, je lévite dans les airs
L’amnésie générale, se façonne en pixels
Je navigue – dans l’impasse – à l’aveugle
J’entends les sirènes mais j’y vais quand même
Quelque chose dans le parfum de l’air assassine les rêves
Faut dé-zoomer un peu, pour en voir les ficelles
Je navigue – mes fantasmes – à l’aveugle
J’sais pas où ça mène mais j’y vais quand même
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10. |
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Dans la forêt
Artificielle
Les liens me brûlent
Les liens me –– brûlent
Ils apparaissent
Comme les ficèles
D’une sphère qui hurle
D’une sphère qui –– hurle
Le Bruit des Plantes
Dans le Béton
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11. |
L'arbre exponentiel
04:27
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Il grandit, il grandit, il grandit, grandit
Je prédis, je prédis, un destin assez inédit
L’Arbre Exponentiel
Le temps – que tu somnoles
Pendant, pendant, pendant, que tu rêvais
L’horloge s’affole
T’embarque dans son inconscience
Toujours avec innocence
Il grandit, il grandit, il grandit, grandit
Ce bandit, ce bandit, ce bandit, bandit
Nous mènera-t-il au paradis ?
À défaut d’une maladie
L’Arbre Exponentiel
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12. |
Le voleur de temps
03:52
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Marche plus vite quand tu me vois
Monte d’un rang si tu le sens
Gagne du vent comme tu l’entends
Moi en vrai j’ai fait mon temps
Prend la fuite si tu me vois
C’est le grand voleur de temps
Je prétends qu’en collaborant
Les ennuis foutront le camp
Parfois j’aime
Dénuder le présent
Et le rhabiller comme
Je l’entends
Moi l’ouvrier du temps
L’horloge poinçonne ma vie
Et m’empêche trop souvent
D’en admirer l’instant
Parles-en vite sans langue de bois
Juste avant d’être inconscient
Perdre ton rang c’est effrayant
Mais pas plus qu’être dépendant
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13. |
Avec amour
03:35
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De l’aurore au crépuscule
J’écris ces mots aveugles
Dans l’espoir qu’un jour
Le hasard y jette un œil
Sans les mains dans la pesanteur
Je me laisse guider
Par une force supérieure
Contre qui je ne peux lutter
Avec Amour
Quand tu t’agaces
Ta joue se creuse et laisse
Apparaitre en coin
Une ébauche de malice
Cet amour moi je le range
Là où se forme l’abysse
Pour éviter que naissent
De vilaines cicatrices
Avec Amour
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Les Disques Pavillon Paris, France
Les Disques Pavillon est un label et une maison de production indépendante créée en 2015. Nous recherchons, nous écoutons,
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